Stockmapper: le tableau de bord boursier visuel ou la bourse en un clin d’oeil

Je n’ai pas l’habitude de trop parler finances sur ce blogue, mais parfois je trouve des trucs assez fabuleux qui méritent le détour, surtout quand il y a un aspect assez techno derrière. Personnellement je me logue tous les matins sur mon mobile sur deux applications : google finance et taux de change, j’écoute aussi mon podcast préféré du matin sur BFM avec la chronique de Marc Fiorentino. Avec cette dose au quotidien, j’ai ce qu’il faut, mais franchement j’ai eu un gros coup de coeur aujourd’hui avec  stockmapper.com qui est un tableau de bord sommaire mais assez complet de tout ce qu’on doit savoir sur la bourse en quelques secondes et ce de façon très très visuelle. 

Examinons par exemple le premier tableau de bord qui apparait quand on lance la page stockmapper.com

Le tableau représente toutes les grosses valorisation boursière où en vert, les actions qui performent le plus et bien sûr, en rouge, celles qui performent le moins. Aujourd’hui par exemple on est plutôt dans le vert.

Dans la rubrique « about » il est dit  que  stockmapper.com  est une plate-forme qui présente et classifie les grandes valeurs en bourse et  d’autres instruments financiers, fournissant une carte thermique qui permet en un coup d’œil de comprendre le marché

On peut ensuite faire des tris rapides par graphes ou par cartes de chaleur avec les tris suivant.

  • Les plus grosses haussse en pourcentage.
  • Par ordre alphabétique pour retrouver ses petits .

  • Par volume.
  • Par market Cap, c’est-à-dire tri des plus grosses valeurs à la plus petite.
  • Le tri par région (y a les USA, l’europe et le reste).

  • Le tri par type d’action : technologie, finances, bien de consommation, industrie, pétrolières, Services, Utilité, Matériel.
  • Le tri par place de bourse, exclusivement Nasdaq, 100, S&P 500, S&P 100.
  • La visualisation par action avec les graphiques d’évolution dans le temps.
  • La comparaison entre deux actions.

  • Et bien sur le fil des informations bien connu.

Conclusion: même si on n’a rien en bourse, l’outil est tout de même intéressant par sa convivialité. Dommage qu’on n’ait pas plus détails par place boursière (DAX, CAC, Bovespa…) Dommage qu’on ait pas non plus les taux de change et les matières premières… J’imagine que les traders ont carrément tout ça sous la main, en plus détaillé.

Services payants sur internet : ce que je dépense aujourd’hui en abonnement

Tout est gratuit sur Internet? Hum pas vraiment, mon blogue par exemple est gratuit en consultation, mais vous vous tapez les pubs et c’est avec ça que je peux continuer à bloguer en gagnant un peu ma vie. Donc rien n’est vraiment gratuit en ce monde, mais ça vous le savez tous. Au fil des années, j’ai aussi essayé de ne payer aucun service  sur internet, mais  j’ai fini par tout de même par payer des services, même s’il existe des équivalents gratuits.

1) L’hébergement de mes 10 blogues. 119 dollars par an.

J’héberge tous mes blogues chez bluehost.com (lien affilié). J’ai eu aussi quelques expériences avec dreamhost, mais j’ai fini part tout migrer chez bluehost.com (cf mon explication sur  Migration de mon 1blogue.net de Dreamhost vers Bluehost).

Si vous voulez héberger vos blogues chez bluehost, veuillez lire les pours et les contres sur cet hébergeur.

Pour ne pas payer l’hébergement de votre blogue, il existe des solutions gratuites chez tumblr, blogspot, Overblog, WordPress.com  et j’en passe. Cela dit, vous n’êtes pas chez vous et un jour ça peut vraiment vous causer du tort.

2) Le paiement des noms de domaine bien sûr (15 dollars par an par domaine en moyenne)

Le prix annuel est de 15 dollars par an, c’est obligatoire quand on veut avoir un nom de domaine à soi. Il n’est pas obligatoire d’avoir un nom de domaine pour bloguer, mais ça fait tout de même un peu plus sérieux. Je paye mes noms de domaine chez mon hébergeur.

3) Elegant thèmes 69 dollars par an.

 

Le thème du blogue roget.biz est moche? Oui, mais je ne l’ai pas acheté chez  elegantthemes.com (lien affilié). Aujourd’hui pour 69 dollars par an, vous avez quelque chose comme 87 thèmes à utiliser pour vos besoins professionnels, quelques bons plugins et une news letter assez intéressante (cette dernière est gratuite). Grâce mes liens d’affiliation, je suis toujours rentré dans mes frais avec cet abonnement.

Ce service s’adresse tout de même à des pros. Pour ceux qui veulent commencer dans le blogging, je conseille  de choisir des thèmes gratuits dont certains sont d’excellente facture. Une fois qu’on gagne on connaissance et en professionnalisme, il est peut-être utile d’étudier les solutions de thèmes payants qui apportent plus de flexibilité et d’options de personnalisation.

4) Bon patron 12 euros par an

Je conseille à tout blogueur d’utiliser un correcteur orthographique et grammatical. Avant de passer à la caisse, j’ai établie une liste de 5 correcteurs en ligne gratuits. J’utilise bon patron pro pour 12 euros par an, car c’est celui qui me donne le plus de satisfaction.  N’étant pas un virtuose de la langue française, un correcteur permet d’éliminer un maximum de fautes d’étourderies, de frappes et de structures grammaticales.

Vous pouvez toujours essayer les services gratuits avant de payer quoique ce soit .

5) Skype (environ 100 € par an)

On s’éloigne des fonctions de blogueur. j’utilise skype pour appeler hors de ma ville. Que ce soit à l’intérieur du Brésil ou en France…  Je me penche sérieusement sur un service comme vibe pour voir si ce service est plus avantageux.

6) Qustodio : contrôle parental 15 dollars par an

Pour une utilisation sérieuse du contrôle parentale, j’ai fini par payer l’option premium qui doit coûter 15 dollars par an. J’ai donc le droit d’utiliser l’outil sur 5 appareils et/ou 5 utilisateurs. Dans mon cas, j’ai installé qustodio pour mes deux filles sur pc et sur mobile.

Ce service est un must et il n’ a pas d’équivalent gratuit (à ma connaissance). Cela dit, il est possible de contourner l’outil si l’enfant n’est pas trop mauvais (changement de l’heure sur le pc  ou sur le mobile…). Si vous les prenez sur le fait en train de hacker l’application, il faudra reprendre votre rôle de parents et confisquer physiquement l’appareil (mobile et pc).

Dans le futur, je vais payer quoi?

Service d’hébergement de fichier type dropbox

Il arrivera bien un jour où je vais payer un service d’hébergement de fichiers en ligne comme dropbox,

La suite photoshop, lightroom en location (creative cloud)

Vu que je m’intéresse de plus en plus à la photo, je vais sûrement payer la location de photoshop et lightroom pour 12 euros par mois. En effet, à ce niveau de tarif, il n’est vraiment plus utile de prendre des versions piratées de photoshop et de lightroom

Service de googleplay

Etant sur Android, je n’a pas encore payé d’application sur internet, mais je pense que le jour viendra où je vais finalement commencer à payer pour certains service.

Conclusion et conseils

Pour payer des services sur internet, il faut déjà tester les versions freemium. Ensuite il faut tester plusieurs services pour être sûr de trouver le bon.  Si vous être un professionnel, il faut étudier le retours sur investissement de telle ou telle solution. Cela dit, vu les prix pratiqué, il est très facile de faire le calcul du retour sur investissement.

 

 

 

Mode d’emploi pour acheter un billet d’avion sur internet (mes précautions geeks)

Quand j’ achète sur internet des billets d’avions je prends quelques précautions, déjà j’achète mes billes d’avions sur des sites réputés pour éviter déjà les mauvaises surprises. Comme je voyage avec la famille, la somme à payer est parfois assez élevée et même avec mon expérience, quand il faut lâcher 6000 euros de billets d’avion, il faut être plutôt prudent.

Alors: voilà comment je procède (partie normale) 

  • Je vais déjà sur le site officiel de la ligne aérienne sur laquelle je veux voyager et je me renseigne des prix.
  • Je fais une comparaison avec les sites discounts.
  • Généralement je finis toujours par acheter sur le site officiel de la ligne aérienne (mais ça c’est peut-être parce que j’habite au Brésil). En effet j’arrive toujours à avoir des meilleurs prix sur des vols direct!

Jusqu’à là pas de problème. (partie vécue) 

  • Généralement je ne me précipite pas, je regarde les tarifs et je n’achète pas tout de suite.
  • Je reviens quelques jours après pour voir si les prix sont les mêmes.
  • Je consulte régulièrement les promos et j’arrive à savoir quelle est la bonne époque pour acheter mes billets d’avions.

Voilà que ça se corse . (partie geek) 

Si je change d’avis avant de payer, j’ai remarqué que si je retourne sur le site de réservation tout de suite après :  les  prix montent. C’est aussi vrai après quelques heures et je me dis « Bigre » il faut que je me dépêche car si j’attends encore un peu, les prix vont grimper encore. C’est là qu’il faut garder son sang froid et faire les choses suivantes.

  • Sortir du site de l’agence de réservation.
  • Éteindre le modem ADSL (si on n’éteint pas son modem notre adresse ip reste la même et c’est pas bon, car l’agence va savoir que c’est encore le même individu qui veut réserver son billet d’avion. (On sait que l’adresse ip du modem a changé quand on a un message du type « widows à rencontré un conflit d’adresse »). 
  • Si on utilise un seul navigateur :  rouvrir son navigateur et nettoyer tous les cookies et traces via le logiciel ccleaner  (trouver un téléchargement de cc cleaner ici) . 
  •  Si vous utilisez plusieurs navigateurs, faites en sorte d’en utiliser un autre pour refaire une réservation, ainsi le site de réservation ne pourra pas vous repérer et vous refourguer des tarifs à prix astronomique. Epicbrower serait peut-être le navigateur idéal. 

Vous avez compris, il se peut que votre site de réservation soit programmé pour vous faire acheter des billets d’avion à prix fort. En effet quand on achète un billet pour se rendre à un événement important, on ne peut pas dire « c’est trop cher j’y vais pas ». Généralement, pris de panique l’internaute va acheter un billet plus cher, car il se dit que si ça continue à monter, ça va être encore plus dur.

C’est pour cela que dans le doute, il faut faire ce que je viens de dire. Ok, c’est peut-être parce que j’habite  un pays avec beaucoup de lois qui ne sont jamais bien respectées, mais même en France, je me méfierais aussi.

Sachez que j’ai remarqué ces augmentations de prix artificiels maintes fois en faisant des réservations. C’était le conseil du jour. Notez que ce que j’affirme, je ne peux pas le prouver, toutefois, cette technique de hausse des prix artificielles s’appelle l’IP tracking donc on a parlé pas mal il y a quelques mois cf les sources « ip tracking billet d’avion« .  Il est très difficile de faire la différence entre une technique d’ip tracking et une technique de « yield management » (gestion de l’offre et de la demande). Le yield management est tout à fait légal, cf définition sur wikipedia. En revanche, l’IP tracking est plutôt situé dans la zone grise de la légalité.

thierry roget cool

Question: avez-vous déjà vécu la même expérience? 

 ps : ce n’est pas un scoop, mais je refais le teste ce weekend en live et je confirme que c’est la bonne méthode.

 

 

 

 

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