Depuis deux semaines, impossible d’accéder à la page Delicious, ni à Flickr, ni a Pipe.Yahoo sur deux de mes trois pc? Bizarre très bizarre. Je savais que ça bougeait sur delicious, mais impossible de savoir quoi. En fait c’est très simple, on peut mainteanant twitter nos favoris delicious, ce qui est une bonne chose, cela va m’éviterait de passer par twitterfeed. Cela dit je mentionne, « boookmarqué! » automatiquement sur twitterfeed justement pour m’y retrouver! (compliqué). On peut également envoyer un mail à chaque favori (moins utile)
Evolution mais pas révolution
delicious.com
Ceci au passage est une information assez bateau! Ceux qui utilisent firefox ont bien du s’apercevoir du changement!
http://argent.canoe.ca/lca/affaires/canada/archives/2009/08/20090804-121849.html Les Canadiens paient plus cher pour un accès à Internet haute vitesse moins rapide qu’ailleurs, même si son utilisation est bien plus répandue que la moyenne. Cette critique déjà faite par des experts se confirme dans les données compilées l’année dernière par l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE). Le meilleur indicateur de valeur est celui du prix payé pour chaque megabit par seconde, soit la vitesse offerte par le fournisseur d’accès. Les Canadiens paient de 3,85 à 110,51 $ US par megabit offert, la troisième pire échelle de prix. Les seuls pays qui font pire sont le Mexique et la Finlande. Le prix moyen pour un megabit par seconde est de 12 $ US dans l’ensemble de l’OCDE. La meilleure offre se trouve en Corée du Sud, où le megabit le plus cher se situe à 4,48 $ US. Le Canada fait aussi piètre figure en ce qui concerne la vitesse de téléchargement maximale dont profitent vraiment les abonnés. La moyenne est de 6,6 megaoctets par seconde, la cinquième pire de toutes. La Turquie se trouve dans les bas fonds avec 3,3 Mo. Le «trophée Speedy Gonzales» revient au Japon, où la moyenne est de… 92,8 Mo par seconde. Les Canadiens ne peuvent même pas se consoler en comparant la quantité de données qu’ils peuvent télécharger. Le Canada fait partie des quatre seuls pays de l’OCDE où 100% des forfaits haute vitesse sont touchés par une limite explicite de téléchargement. Ses compagnons à la queue du peloton sont l’Australie, la Belgique et la Nouvelle-Zélande. Dans la majorité des pays qui font partie de l’OCDE, aucun forfait n’a de limite de données. Au moins, la limite moyenne au Canada dépasse 50 gigaoctets par mois, la plus généreuse parmi les pays où l’on impose des restrictions. Ce qui surprend, c’est que l’état du marché n’a rien à voir avec une rareté des abonnements. Au Canada, le taux de pénétration de la haute vitesse se situe à 29%, avec pllus de 9,5 millions d’abonnés. Cela en fait le dixième pays le plus «branché» à la haute vitesse. Comparativement, le taux dans l’ensemble de l’OCDE atteint 22,4%. On trouvait 267 millions d’abonnés à la haute vitesse dans l’OCDE l’an dernier, une croissance de 13% malgré la crise économique.
Ben moi aucuns soucis pour accéder à Delicious, j’y vais au moins dix fois par jours et me suis donc aperçu des nouveautés quasiment en temps réel ! J’ai donc une la primeure héhé ! 😉