C’est toujours assez ludique de voir d’où viennent les visiteurs de ton blog. Le gadget feedjit est une source instructive d’enseignements . Ce qui apporte le plus d’audience c’est tout de même les recherches sur google, mais ces dernièrs jours, j’ai remarqué que Wikio, apportait du trafic depuis que je m’y suis inscrit. Le plus étonnant est qu’hier j’ai parlé du top 10 des blogs de Wikio, pour m’aperçevoir que mashable.com possède sur sa sidebar latérale un widget appelé « Qui link vers Mashable France ? » Donc à chaque fois que tu inscris l’url mashable dans un de tes billets (ne pas dire post) ton billet s’affiche sur mashable et indirectement ça la t’apporte des visiteurs. Tout est écrit dans monetiweb un blog que je ne manque pas de lire en détail, mais c’est vraiment en expérimentant qu’on arrive à comprendre un peu plus les subtilités du web. Bien sur, le jour où mon audience va augmenter je n’aurais plus le temps de contrôler mes visiteurs un par un, j’irai plutôt fuiner dans les résultats de google analytics. Un détail cependant, si je laisse un commentaire sur un blog même du top 10, je vois que les auteurs se dérange et prennent le temps de t’examiner, c’est donc un autre enseignement utile et je constate leur grande disponibilité à s’intéresser aux commentaires laissé par des blogueurs même débutant.
Quelles sont les leçons à tirer de cela :
1) inscrit ton blog dans les moteurs tel que wikio,
2) fait des commentaires dans les blogs dans les articles qui t’intéresse, le feedback est essentiel pour les auteurs et ça te permet de te faire connaître.
3) écrit sur les top 100 des blogs et les trackbacks feront leur boulot. Quand j’ai fait l’anatomie du blog de Christophe logiste le but n’était pas de faire de l’audience, mais j’ai eu 48 visiteurs qui sont passés par son blog pour atterrir sur le mien.
Conclusion, un blog au départ, ça se trouve tout au fond de l’océan du net, peu à peu il remonte à la surface, mais la surface de l’océan est très grande, il faut encore qu’il sorte de l’eau. Mon blog a décollé légèrement du fond, je vois déjà un peu la lumière.
Toujours que du bonheur de chez bonheur