Migration de Blogger vers WordPress

Migrer ses billets de Blogger vers WordPress est un jeu d’enfant, dans la partie « Manage » du dashboard de wordpress (excuse moi j’ai téléchargé la version anglaise de wordpress) , il y a la fonction « Import » il suffit de cliquer dessus de choisir ton ancienne plate-forme parmi 14 sources (dans mon cas blogger). Ensuite tu choisis le blog que tu veux importer si tu en as plusieurs, tu donnes évidemment l’autorisation pour que wordpress aille fouiller dans blogger et ensuite tu importes. Et c’est fini? Oui et non.

Trois choses à ne pas oublier. Continuer la lecture de « Migration de Blogger vers WordPress »

Wp-Stat un truc qui en jette quand on a de l’audience

Le benchmark terminé, je pars maintenant à la remise en forme du blog. J’ai commencé par Wp-stat, disponible sur le site de lesterchan.net/wordpress. J’ai mis en place les stats dans une page. On t’explique comment faire ça ici. Ce n’est pas compliqué il faut juste lire soigneusement les instructions.  La mise en page est un peu brute, j’imagine qu’il va me falloir regarder le code pour diminuer la taille des titres. J’ai cherché les statistiques des billets les plus lus, je ne les ai pas trouvé, il va également falloir creuser un peu plus de ce côté.

Une question un peu plus métaphysique arrive ensuite, question qu’on doit se poser avant même d’installer quoique ce soit sur son blog (c’est valable dans la vie quand on veut acheter quelque chose) A quoi ça sert? A l’époque où j’avais de grandes responsabilités dans les grosses entreprises où je travaillais, je posais la question suivante à mes collaborateurs. Qu’est-ce qui se passe si on ne le fait pas? Souvent la réponse était « rien » ainsi j’éliminais d’un trait le travail et surtout l’argent que cela allait coûter. Généralement, il faut un ROI (Return On Investment) sur toute activité professionnelle, pas de ROI pas de Chocolat.

En l’occurrence, le ROI de Wp-stat est de montrer à quel point tu es bon dans ton blog en roulant un peu tes pectoraux de blogueur et d’attirer le chaland qui te visite et surtout de le transformer en lecteur assidu et en potentiel cliqueur de pub. Tes stats c’est ton audimat, plus tu as de visiteurs, plus tu fais payer cher tes pub sur ton site. Voila le ROI.

A toi de voir à quel moment tu peux montrer tes pectoraux, pour le chaland et pour les annonceurs. Pour les annonceurs il y a bien d’autres manière de refiler tes stats sans les montrer aux utilisateurs, google analytics possède cette fonctionnalité où tu peux autoriser un tiers à venir voir tes pectoraux en lui montrant ce que tu as envie de lui montrer. De plus ça depend de la teneur de ton blog, mais si tu t’adresses à des non spécialistes la seule information intéressante à mon goût et la statistique des billets les plus lus, qui permettent aux lecteurs d’accéder aux billets théoriquement les plus intéressants. Ce n’est pas forcément le cas et je peux te renvoyer au billet « Feedjit et Google webmaster dashboard » où j’explique que les billets les plus lus sont le billet Géolocalisation des prostituées et Yahoo pipe tout simplement parque la pipe et la prostituée sont des mots assez porteur sur les moteurs de recherche.

Moi j’ai pris l’option de montrer mes petits muscles après trois mois de blogging, et à peine 20 jours après la migration de Blogger vers WordPress. Je ne vais pas me la jouer gros bras, quelques uns de la bande du point triple sont déjà passés visiter mon site. (J’en ai compté trois)

Toi blogueur débutant, si tu es dans la longue durée, je te conseillerais de mettre tes stats dès le début, ça te motiverait à bloguer régulièrement et également à montrer à l’opinion public que tu es un débutant mais que tu n’es pas un petit joueur. « Tout pro a été un débutant un jour ». Et si tu es un blogueur professionnel, tu dois pratiquer le roue de deming (planifier, dérouler, mesurer, corriger)

Les joies du ping back et du track back

Le domaine du blog reste un peu trop technique à mon goût. J’ai découvert avec joie la philosophie du pingback, du trackback. Déja le verbe pinguer doit déjà exister, j’imagine que trackbacker et pingbacker ne vont pas tarder non plus. L’office Québécois de la langue Française a d’ailleurs déja trouvé le terme, et je le trouve très bien pensé, tracbacker veut dire retrolier. Je n’ai pas trouvé le terme pour pingbacker, mais comme les québecois autorisent le mot ping (Packet Internet Groper) on peut imaginer un mot comme retropinguer. Continuer la lecture de « Les joies du ping back et du track back »

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