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Readlang apprendre du vocabulaire en 50 langues

Je viens de faire une petite revue de l’outil   Readlang.com  sur mon blogue de langue  01langue.org. Franchement c’est un gros coup de coeur et ce n’est pas un poisson d’avril. Ce site nous propose d’apprendre du vocabulaire dans plus de 50 langues et ce à partir de n’importe quelle langue de départ. Ce qui veut dire que, celui qui parle l’arabe pourra apprendre l’hébreu, que celui qui parle l’Ukrainien pourra apprendre le Russe, et celui qui parle Chinois pourra apprendre le Bengali…

Dans mon cas je suis part  sur un petit test en Allemand car je suis bien usé avec cette langue, bien qu’ici dans ma région la langue allemande est la plus parlée après le portugais…

Le principe est simple, il suffit de lire un texte et quand on butte sur un mot, on clique dessus pour connaître sa traduction et le mettre en mémoire pour l’apprendre plus tard.

Tout les mots sur lesquel on a cliqué sont donc mémorisés dans une grosse bases de données.  Ils seront ensuite révisés via la méthode révolutionnaire des flash-cards.

Les flash-cards sont classées par ordre de difficulté où les mots non sus vont apparaître plus souvent sur l’écran. C’est à vous de dire à l’outil si vous connaissez ou non le mot. Si vous trichez, c’est nul.

Avec la  version gratuite  l’apprentissage des mots est illimité, donc à priori pour passer au mode payant, il faudra vraiment user l’outil pour voir si cela vaut le coup. De toute façon la version payante n’est pas très chère.

L’outil propose  donc !

  • du contenu en 54 langues.
  • 2 Appli  iphone (pour le riche non exigeants)  ou Android (pour les pauvres exigeants)
  • Un bookmarklet pour lire sur le web. (ça j’aime mais j’ai pas testé).
  • Extension chrome pour un usage hyper intensif.
  • Une aide en ligne pour la définition des mots de vocabulaire.
  • Une chaine Youtube  pour tout nous apprendre sur l’outil.

 

 

Conclusion: vous n’avez plus d’excuses pour ne pas pouvoir apprendre une langue, sinon d’avouer que vous êtes un gros fainéant qui dans l’avenir va se retrouver au chômage car il n’a pa su saisir toutes les opportunités que lui offre le WEB. Oui toi! Arrête d’échanger des conversations débiles sur Whatsapp et commence à utiliser le web pour toi, avant que le web t’utilise. Vas -y!

Readlang.com le gros coup de coeur de la journée.

Publier un texte, une page sur publishpage

Vous n’avez pas de blogue (probable), vous n’avez pas de compte facebook (peu probable), vous n’avez pas de compte twitter ou autres réseaux sociaux, vous êtes un peu l’utilisateur web1.0 et un jour, un beau jour, vous avez une envie d’écrire un texte et le publier sur internet.

Comment donc faire pour publier une page sur internet quand on n’a pas de blogue ni de compte de réseau sociaux. ? Il existe pas mal de solutions et aujourd’hui j’ai testé. : Publishpage.com

Publishpage.com  permet de :

  • mettre un titre à une page.
  • d’ajouter un auteur.
  • de personnaliser son url. Dans mon cas j’ai fait un lien vers http://www.publishpage.com/rogetbiz.
  • d’écrire des textes dans des espaces spécifiques.
  • avec une syntaxe spéciale on peut passer en gras en italique et ou faire un lien url/
    • syntaxe pour le gras :  ( __gras_ ),
    • syntaxe pour italique (_italic_),
    • syntaxe pour insérer un lien url  [roget.biz](https://roget.biz).

publishpage, test pour roget.biz

  • redimensionner les textes automatiquement.

  • Insérer des photos obligatoirement hébergées ailleurs. Ceci oblige donc d’inclure le lien url de la photo. (on peut faire ça via plein de blogue scomme tumblr ou blogger qui autorisent le hotlinking.
  • Insérer des liens url (toujours ça de gagné pour faire un peu de SEO), sauf que ça ne marche pas dans la résultat final.
  • Dessiner de façon ultra rudimentaire. Grosseur et transparence programmable et une gomme pour effacer les dessins.
  • S’aider avec un quadrillage qui n’apparaîtra pas au résultat final.

Cet outil propose des pages publiques, ce n’est donc pas à cet endroit que vous allez mettre des informations confidentielles. Ce n’est peut-être non plus le bon endroit pour mettre un CV, car le traitement de texte et assez rudimentaire. N’oublions pas que tous ses services disparaissent un jour sans crier gare. N’oublions pas aussi qu’une fois que le lien est diffusé et qu’on perd le cookie de mise à jour, la page sera visible et elle sra ineffaçable.

Conclusion : cet  outil sera bien utile dans certains cas quand on n’a pas trop envie se casser la tête pour créer un compte avant de publier quoique ce soit.

Publishpage.com

Dans le même genre, mais pour du texte uniquement vous avez aussi copytaste, zenpen.io, note.io , Typwrittr., il y a même des services où l’on peut faire du travail colaboratif comme les clones d’ eterpad

Editeur de texte et diagramme collaboratif

Tout à l’heure, j’ai présenté le  Ziteboard le service de dessin en ligne de dessin (pas terrible au passage) et je passe au cran supérieur avec le service en ligne Precursor. Precursor est plutôt un service d’édition de texte en ligne mais il possède des fonctions graphiques qui permettront de réaliser des travaux un peu plus sérieux.

Quand on lance l’application en ligne, il suffit de faire un clic droit de souris pour trouver 6 options d’édition (cercle, rectangle, ligne, pen [dessin libre], Test et sélection d’objet.

On pourra voir un exemple fait rapidement pour le test et c’est vraiment réussi à mon goût.

Ce service permettra plutôt d’élaborer des croquis avec du texte, un peu comme le service de google doc. Dans la colonne de gauche, il y a une partie de « chat » qui permettra de faire des commentaires en parallèle et si on couple ce service avec skype, la collaboration n’en sera que facilité.

Pour cette version en ligne, il n y a pas de possiblité d’exporter le résultat vers un format quelconque. Il faudra donc garder le lien url de partage pour continuer à travailler en collaboration.

Avantage

  • Pas de création de compte.
  • Partage rapide via un lien url.
  • C’est simple.

Inconvénient

  • Pas d’export du résultat vers un format de fichier de type jpg, ou pdf.
  • Pas d’option « read only » (lecture seulement). Ce qui fait que toute personne trouvant le lien pourra détruire toutes les notes.
  • C’est monochrome.

Conclusion : malgré la limitation en terme d’options, cet outil est assez agréable à utiliser. Comme il n’y a pas de compte à créer, n’importe qui pourra accéder à l’édition du texte ce qui en facilitera l’usage. Personnellement, pour éditer du texte en mode collaboratif, je préfère utiliser les vieux clones d’eterpad dont certains sont encore en ligne. Pour des options « diagrammes », j’ai déjà parlé d’une longue liste d’application qui permettent de faire  des diagramme en ligne.

 

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