Infographie : La plupart des enfants s’inscrivent sur les principaux réseaux sociaux dès l’âge de 11 ans

Sophie qui travaille pour la société de sécurité online et antivirus AVG, vient de m’envoyer une information très intéressante concernant l’age des enfants qui s’inscrivent sur les réseaux sociaux. 11 ans!  Encore une raison de plus pour faire un contrôle parentale fin comme je l’explique sur mon dossier  « contrôle parental »

AVG vient de sortir  la 4eme version d’une étude intitulée Digital.  Cette série d’enquêtes en ligne étudie la manière dont Internet et les nouvelles technologies affectent l’enfance. Dans cette dernière version, AVG met en lumière la « maturité digitale », c’est a dire l’âge auquel les enfants deviennent des ‘adultes’ en ligne.

Pour réaliser cette étude mondiale, AVG a interroge 4,000 parents ayant des enfant de 10 a 13 ans dans de nombreux pays: Amérique du Nord, pays d’Europe, Australie, Nouvelle-Zélande et Japon. Les resultats montrent entre autres que:

    • Seulement 8% des parents penses que leurs enfants de 10-13 ans ont plus de connaissances Internet qu’eux
    • 87% des pères pensent qu’ils en savent plus a propos d’Internet que n’importe qui dans leur foyer (bien que cela se révèle souvent faux!)

La majorité des enfants dans les principaux pays industrialisés, notamment les cinq premières nations de l’Union européenne (Royaume-Uni, France, Allemagne, Italie, Espagne) atteignent, dès l’âge de onze ans, une maturité numérique que vient récompenser leur inscription aux réseaux sociaux les plus populaire, comme Facebook et Twitter.

C’est ce qu’affirme le quatrième rapport Digital Diaries (Carnets numériques) de la société de sécurité Internet AVG. Plus de 4 000 parents ayant des enfants âgés de 10 à 13 ans à travers le monde ont été interrogés au sujet des habitudes Internet de leurs enfants dans le cadre de ce sondage.

Aux États-Unis, au Canada, en Australie, en Nouvelle-Zélande, au Royaume-Uni et en France, la majorité des parents ayant des enfants âgés de onze ans affirment ceux-ci accèdent aux principaux réseaux sociaux.

En Allemagne, la majorité y accède à l’âge de 12 ans, tandis qu’en Italie et en Espagne, la maturité numérique démarre dès l’âge de 10 ans. Seul le Japon inverse la tendance avec un nombre d’enfants extrêmement limités sur ces sites.

Si les enfants qui n’ont pas encore atteint le stade de l’adolescence adoptent déjà le modèle d’utilisation en ligne des adultes, rares sont les parents à croire que leurs enfants sont mieux informés qu’eux-mêmes au sujet de l’Internet.

Lorsqu’il leur est demandé « Qui en sait le plus sur Internet dans votre foyer », sept pères et mères sur 10 (72 %) affirment être cette personne. En comparaison, moins d’une personne sur 10 (8 %) reconnaît que ses enfants de 10 à 13 ans en savent plus.

En grande majorité, ce sont les pères qui, le plus souvent, s’affirment les experts en ligne, malgré les preuves attestant d’une domination féminine sur la plupart des principaux réseaux sociaux. Globalement, parmi les pères interrogés, neuf sur 10 (87 %) s’estiment les plus qualifiés et à peine un sur 20 (5 %) pense que ses enfants sont mieux informés.

En Allemagne, 94 % des pères pensent être la personne à en savoir le plus sur Internet chez eux, contre 90 % en Italie, 89 % en France et en Espagne et 81 % au Royaume-Uni.

Il était toutefois évident que de nombreux parents ne sont pas aussi bien informés qu’ils ne le pensent au sujet des habitudes Internet de leurs enfants. En moyenne, 58 % se connectent sur l’ordinateur de leurs enfants en leur absence pour vérifier leurs activités en ligne.

D’après le PDG d’AVG, JR Smith, « les enfants sont en ligne dès un si jeune âge que la plupart d’entre eux peuvent atteindre la maturité technique des adultes à leur adolescence. Confrontés à de nombreuses situations complexes en ligne, ils n’ont cependant pas développé la maturité intellectuelle ou émotionnelle équivalente pour prendre des décisions avisées » ajoute JR Smith, PDG d’AVG Technologies.

« Il est important que les parents comprennent le rôle que joue la technologie dans la vie de leurs enfants. Elle peut les aider à éveiller leur intelligence en toute sécurité, tout en maintenant la tranquillité d’esprit totale des parents. »

 

source : http://www.avgdigitaldiaries.com

nota  : je ne suis pas l’auteur de ce texte, c’est une copie (honteuse) du mail envoyé. j’attends que l’information soit disponible sur le site official d’AVG pour faire un renvoi vers la source du texte, si toutefois elle est un jour disponible.

Personnellement, je suis plutôt contre le fait que les enfants s’inscrivent à des réseaux sociaux, du moins jusqu’à l’age de 14 ans.

Basta : les réseaux sociaux

Les techniciens, on les appelle aussi les techies (ça sonne mieux, car c’est en anglais) sont souvent appelés par les spécialistes du marketing : des early adopteurs (les gens qui sont les premiers à tester une nouveauté). Mais les early adopteurs sont aussi les early abandonneurs! Ils se lassent les premiers des nouveautés qui les ont tant enthousiasmés au début. Alors voilà moi aussi, je me sens abandonner peu à peu les réseaux sociaux. Ça devient lourd. Aujourd’hui pensant naivement que j’allais encore trouver des trucs révolutionnaires, j’ai testé trois nouveaux réseaux.

  1. unthink.com (j’ai pas du taêr mon bon mot de passe, et le truc ne pas renvoyer de nouveau mot de passe
  2. chime.in (serait peut-être un truc pas mal)
  3. diaspora (rien de neuf)

Le pire c’est que tester un service me prend du temps, je crée souvent deux profils pour avoir une conversation avec moi-même. Je fais des tests sur deux pc et parfois je demande à quelqu’un de m’aider. Et bien voilà si le test ne me satisfait pas, je n’en parle pas, mais j’ai déjà perdu mon temps à ne rien faire.

Je ne sais pas si vous êtes dans ce cas, mais personnellement, il me  semble que je n’ai plus rien à dire sur les réseaux sociaux si ce n’est que de relayer ce que j’écris sur mes blogues. Vivement que je puisse automatiser googleplus pour n’y mettre les pieds (enfin les yeux) que pour l’équivalent d’une pause café, car je n’y ai plus de goût à me promener sur les réseaux sociaux.

Je crois que je vais retourner sur les forums de discussion plus intimes et plus pointus.  En tout cas s’il n’y avait plus internet, côté réseaux sociaux, ça ne me ferait pas vraiment défaut.

Sinon je vous invite à réfléchir au billet de lobolobo Et-si-Internet-s’arrêtait-demain? Je m’étais dis qu’il fallait que je fasse également une réponse à sa question. Je pense que je vais la faire demain.

 

Joindiaspora.com j’ai cru m’être loggué sur googleplus par erreur.

Je viens de joindre le réseau social Diaspora dont on n’avait entendu parlé que du bien. C’était à l’époque où il fallait trouver autre chose que  le vilain facebook, le vulgaire Orkut,  le minable twitter ou le trop sérieux linkedin. Mais entre temps, le réseau googleplus est passé par là et je n’ai donc pas bondi de joie ni de surprise en entrant dans cette nouvelle sphère sociale joindiaspora.com.

En fait j’ai même été très surpris de la similitude entre googleplus et diaspora. Voyez vous-même, les deux copies d’écran de Disapora et de Googleplus mise côte à côte! Y a de la copie dans l’air!

Pour faire un zoom,  voilà une copie d’écran de Diaspora

copie d'écran de diaspora
Copie d'écran de Diaspora

Et une copie d’écran de Googleplus

Copie d'écran de Googleplus

Ressemblance plutôt frappante!  Alors quoi? Ben, pas grand chose!? Je ne sais pas quoi faire avec ce nouveau réseau social, je n’ai pas eu le déclic.  La seule utilisation que je pourrais avoir d’un tel réseau serait de l’utiliser de façon ultra privée et de n’accepter que les membres de ma famille proche pour y partager mes  photos. Je pourrais également m’en servir pour collectionner les photos érotiques que je glane sur internet?  Pour les tests j’ai plutôt opté sur la partie photo sensuelles en couplant l’application qui est  la première fournie avec diaspora et qui s’appelle cubbi.es qui n’est ni plus ni moins une application de collection de photos. J’ai donc tartiné mon compte de photos de filles juste pour le test.

Enfin on va quand même donner une chance à ce réseau social et si vous voulez une invitation vous pouvez toujours laisser un commentaire avec un mail valide.

Mon profil   https://joindiaspora.com/u/thierryroget

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