Le domaine du blog reste un peu trop technique à mon goût. J’ai découvert avec joie la philosophie du pingback, du trackback. Déja le verbe pinguer doit déjà exister, j’imagine que trackbacker et pingbacker ne vont pas tarder non plus. L’office Québécois de la langue Française a d’ailleurs déja trouvé le terme, et je le trouve très bien pensé, tracbacker veut dire retrolier. Je n’ai pas trouvé le terme pour pingbacker, mais comme les québecois autorisent le mot ping (Packet Internet Groper) on peut imaginer un mot comme retropinguer. Continuer la lecture de « Les joies du ping back et du track back »
Juste un petit mot avec que je me couche, je t’envoie l’url non pas d’une de mes traces numériques, mais de la trace numérique de mes visiteurs. Cette trace est offerte par feedjit, dont j’ai déjà parlé dans ce blog. Je n’avais jamais cliqué sur les options qui figurent en bas à droite de mon site, mais ce soir, par curiosité j’ai cliqué et j’ai vu l’origine de mes visiteurs. C’est ludique, mais feedjit te fournit également en « live », le site par lequel tes visiteurs arrivent sur ton site et le site vers lequel ils sortent. Je trouve ludique de voir les requêtes google que mes visiteurs font pour finalement atterrir sur mon site. Tout cela n’est pas de la magie, c’est une fonctionnalité classique de l’internet, mais grâce à cela des gens intelligents ont sophistiqué la chose en y couplant des SIG, (systèmes d’informations géographiques) afin de rendre la chose un peu plus lisible qu’une longue liste de code à peine compréhensible par le commun des mortel. C’est vrai coupler une adresse IP avec un emplacement géographique, c’est smart, et ça rend les choses un peu moins statiques. J’imagine qu’une fois que le site a atteint une bonne audience, il sera difficile d’analyser le trafic live, il faudra se retrancher derrière les rapports sophistiqués de google analytics. Je te donne la trace, pour que tu ailles voir par toi même. 