Intégrer une photo panoramique dans un blogue avec Google+ Platform API

Je viens de tester la possibilité d’intégrer une photo panoramique dans un blogue avec l’api google dont l’explication se trouve sur  developers .google.com panorama web. Ça tombe bien, car j’ai mon petit blogue spécial panoramiques qui pourrait se prêter à cet outil. En effet pour utiliser l’outil, il faut que les photos soient hébergées sur google  PicasaWebou G+. Mon blogue étant hébergé chez blogger, cela m’a été très facile d’intégrer cette fonctionnalité sans vraiment tripoter le code . La démonstration se trouve sur le lien  panoramiq.blogspot.com.br

On peut voir dans cette démo, la première photo (1) qui est en format normal et (2) la photo intégrée dans le code d’incrustation panorama web fourni par   Google+ Platform API.

Petit mode d’emploi.

Mettre le code (3)  (disponible sur la page developers.google.com panorama web) dans un widget. On pourrait le mettre ailleurs, mais dans un widget ça marche donc pas besoin de se prendre la tête.

(4) mettre ce code dans le billet du blogue en spécifiant l’url de la photo (5) . Cette photo doit être hébergée chez picassa web ou Google+ .

Quelques réglages à faire surtout pour le code offset (6), il s’agit du centrage de la photo. Dans mon  cas, j’ai changé ce code de la manière suivante :

croppedsize= »2048,1380″  (cela permet de centre la photo surtout si elle n’est pas un panoramique à 360 degrés.

Cela correspond à peu près au milieu de ma photo panoramique.  Il ne reste plus qu’à choisir la largeur de la photo par défaut qui correspondra à la largeur de votre blogue (là où vous écrivez).

Voilà !

Ce n’est pas très compliqué, car j’y suis arrivé. Je vais de ce fait modifier l’ensemble de mes 46 panoramiques quand j’aurais le temps.

Notez que je n’ai pas testé cette fonctianalité sur WordPress, mais à partir du moment où le code est en place, je pense que ça doit marcher n’import où, à partir du moment où vos photos sont hébergée sur g+ ou picasaweb.

 

 

 

Vectoriser une photo en ligne

Cela a l’air très scientifique mais quand on parle de vectoriser des photos, il est très facile de l’expliquer. En effet une image n’est en fait qu’une série de points ou de pixels. Si on fait un zoom sur une photo qui représente un trait oblique, au lieu de voir un trait on voit un escalier.

Cela a l’air très scientifique, mais quand on parle de vectoriser des photos, il est très facile de l’expliquer. En effet, une image n’est en fait qu’une série de points qu’on appelle aussi pixels. Si on fait un zoom sur une photo qui représente un trait oblique, au lieu de voir un trait on voit un escalier. En effet un pixel est carré et jusqu’à maintenant on n’a pas trouvé mieux.

vectoriser une image en ligne

Dans la figure ci-dessus, on peut voir à  gauche et avant traitement une série de marches qui ont la taille d’un pixel. En ravance à droite on peut voir une ligne bien droite, c’est à dire un vecteur où on définit juste l’origine et l’extrémité en tirant un trait entre les deux (c’est ça un vecteur)

Ce que propose  /vectormagic.com/online c’est justement de vectoriser les images. Très utile si on veut nettoyer un dessin ou une photo et éventuellement créer un logo ou un avatar personnalisé.

Voilà un autre exemple plus parlant (peut être). A gauche une image relativement sale, à droite une photo qui ressemble plus à un dessin. C’est  plus propre, c’est plus nette et il est possible d’alléger grandement le poid de la photo.

vectoriser une image en ligne

Pour faire ce genre de retouche, il faut charger une photo, choisir le type de définition et traiter l’image. Le traitement est assez long, mais le résultat est à la hauteur, on peut ensuite télécharger la photo en .png.

Il existe une version payante pour 8 dollars par mois pour un usage illimité ou la version desktop à 295 dol. C’est peut-être utile pour les professionnels, mais pour un usage ponctuel, alors  la version gratuite est limitée à deux traitements d’image par compte email. Si vous avez plusieurs comptes email, vous pouvez donc faire autant de transformation possible.

Voilà encore une exemple. Le logiciel en ligne choisit la palette de couleur adapté à votre photo, mais vous pouvez la personnaliser à votre goût.  En diminuant le nombre de nuances.

La capture d’écran suivante montre le résultat avec une palette réduite.

Pour aller plus loin, il est possible d’éditer la photo complète en changeant les couleurs, mais les résultat sont moins bons.  Notez que j’ai écrit ce billet dans sa premire édition le 16 févirer  2009 et que depuis, je n’ai pas trouvé mieux en ligne pour vectoriser correctement une photo. Ce doit être un niche market bien gardée !

vectormagic.com

Bien comprendre la compression d’image avec VJC

La compression d’image? Je pense que peu de gens se préoccupent de compresser une image.  même quand il arrive le moment du partage en ligne. En effet la plupart des services et des réseaux sociaux, ont bien compris que cette notion de compression était une affaire d’expert et qu’il fallait mettre en place des dispositifs de compression d’image automatique sans pour cela prévenir systématiquement l’utilisateur.  L’exemple type est celui d’instagram qui compresse la photo et la réduit à un format 612×612.  Mais si on est curieux, on pourra tester ce petit logiciel  gfsoft.co.uk VJC (visual JPEG compression) qui permet de voir une partie de la photo en mode normal et en mode compressé. C’est donc très didactique.

Le logiciel ne nécessite pas d’installation, c’est un exécutable qu’on pourra même stocker dans une clé usb, si on veut.

Dans la capture de fenêtre qui suit, on ne peut pas voir la différence entre les deux photos, car la qualité de sortie de la photo a été fixée à 100%. Il n’y a donc pas de compression.

Une compression à 90%, qui est une compression légère, ne permet pas à l’oeil nu de voir la différence, à moins de faire un zoom au niveau du pixel. En revanche côté compression on voit que le poids de la photo est passé de 2346 Kilo octets à 436 kilo octets ce qui est une réduction du poids de la photo considérable : plus de 5 fois plus léger.  On peut donc dire qu’une compression à 90% est optimum, pour réduire le poid du stockage, sans toutefois affecter la qualité. C’est que j’utilise comme niveau de compression pour mes photos personnelles.

Mais allons plus loin dans la compression de l’image en poussant la compression à 70%. Ce qui est une compression raisonnable, surtout si on possède un blogue et qu’on ne veut pas trop prendre de bande passante sur le serveur.  Le poids de la photo a été divisée par 10 sans qu’on puisse voir une dégradation de la photo à l’oeil nu.

Pour commencer à voir les défauts, il faudra vraiment, mais vraiment compresser! Dans l’exemple qui suit, la compression est de 20% ce qui est un sacrilège pour un photographe et on peut comprendre pourquoi, on commence à apercevoir de la pixellisation qui prendre forme de petits carrés sur les surface unie de la photo.  Le poids de l’image a été divisé par 20!

On va finir à 10% juste pour l’exercice et pour bien comprendre ce qu’est la pixellisation. Dans ce cas extrême, la photo n’est plus du tout de bonne qualité.  Le poids de la photo a été divisé par 25. A peine plus que la compression à 20%.

Pour finir, si on veut ajouter un point artistique à une photo on peut pousser la compression à 5%, mais c’est juste de l’art numérique.

Conclusion :  une compression à 90% semble le meilleur compromis qualité poids. Si on ne voit pas forcément la différence avec une compression à 70% elle est parfois très visible sur des espaces unis. Dans l’exemple qui suit, on peut voir que l’image compressée à 70% présente des défauts comme des petites taches de saleté pour un gain nul en plus. Certes, il ne s’agit pas d’une photo mais d’un dessin et les dessins ne doivent pas être enregistré en format JPG, mais en format PNG.

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