Kindle pour ou contre

Il me démange d’acheter une petite tablette kindle, car je suis un gros lecteur de polar. Mais j’ai encore quelques réticences, qui sont peut-être dues à mon grand âge de geek, pourtant je me considère tout de même assez ouvert en terme de nouvelle techno. Récemment quelqu’un m’a demandé un conseil à propos d’une liseuse de type kindle et voilà ce que je lui ai répondu en gros :

  • Saviez-vous qu’on n’achète pas de livres sur kindle, on achète les droits de lecture.
  • On ne peut pas prêter le livre à un ami, à moins de prêter la liseuse, ce qui va être plutôt frustrant.
  • La lecture est uniquement possible sur kindle, à moins de faire une bidouille, mais ce n’est pas à la portée de tous.
  • Je n’y comprends rien au standard et au norme  des fichiers, (faudrait que je me penche un peu sur le sujet, mais j’imagine que le non geek sera vite perdu).
  • Je trouve les livres numériques encore très chers, sauf ceux qui sont libres de droit, bien sûr.
  • Même si l’autonomie est remarquable, il faut toujours alimenter la liseuse.
  • Je trouve très inconfortable la lecture sur liseuse, non pas au niveau de la lecture, mais au niveau de la tenue dans les mains.
  • Il y a encore de bugs. Souvenez vous du livre 1984 de George Orwell, l’info sur nytimes.com « Amazon Erases Orwell Books From Kindle »
  • On ne peut pas hériter des droits de lecture.
  • Tous les trois ans, il faut acheter une nouvelle liseuse pour cause d’obsolescence. à 190 € c’est tout de même un prix élevé.
  • Les versions en livre de  poche sont relativement bon marché, voire moins chères que les versions kindle.
  • Je ne peux pas acheter de livre kindle sur amazon.fr ! « La Boutique Kindle sur Amazon.fr est destinée uniquement aux clients de la France, la Belgique, le Luxembourg et la Suisse« . C’est tout de même le comble, puisque tout est virtuel.
  • J »aime encore l’odeur du livre, même de poche.
  • J’aime faire des dons de livres aux bibliothèques.
  • J’aime encore regarder mes livres dans ma bibliothèque,

Il se peut que mon argumentaire ne soit pas très juste, mais pour l’instant, c’est ce que j’ai dans la tête.  Bien sûr il y a des arguments pour, comme le poids, le fait qu’on n’a pas toujours d’espace pour stoker les livres….

Suite, le jour où j’en achèterai une pour voir.

 

 

Les livres gratuits sur kindle ou à lire en ligne

Viendra le jour où je vais m’équiper d’un kindle, d’une tablette et d’un smartphone. Mais pour l’instant, je me contente toujours de mon pc avec clavier, car contrairement à certains gourous du net, j’affirme haut et fort que le PC est loin d’être mort.  En tout cas, aujourd’hui j’ai testé mon espace kindle sans avoir  de kindle. Et oui, on peut  très bien lire un livre sur un PC avec un compte Kindle et sans Kindle.  Pour tester sans dépenser un rond, je suis allé sur le site http://ctrlq.org/amazon/ebooks/ (zéro dolar books) et  j’ai déjà récupéré un bon paquet de livres.

En fait il y a  les livres gratuits libres de droit qui sont bien connus comme les misérables, les aventures de Tom Sawyer, Charles Dickens , Edgar Alan Poe…. Il suffit ensuite de trouver un livre gratuit pour avoir une liste de suggestion d’autres livres gratuits et hop la bibliothèque se remplie 

Voilà, j’ai fait le plein de livres, au moins je sais qu’ils sont là sur mon pc et que je peux les lire quand je veux (c’est-à-dire jamais!!!?).  Je  sais maintenant comment le fameux kindle store fonctionne.

Vous pouvez trouver des livres en Français gratuit de la même manière directement de la boutique ebook gratuits . (je n’ai pas testé du fait qu’étant au Brésil, je dois passer par amazon.com plutôt qu’amazon.fr qui refuse de me mettre à disposition des livres gratuits! Bizarre, mais c’est comme ça!

 

ctrlq.org (zéro dolar books)

via labnol.org

Le social est-il l’avenir de la communication ? télécharger le livre blanc

Le social est-il l’avenir de la communication ? Si on avait lu ce titre il y a dix ans on n’aurait absolument rien compris. On aurait pensé que l’avenir de la communication passerait par l’assistance sociale où un truc du genre. Et oui! On a mal débuté en France, car on a traduit « social networks » en « réseaux sociaux ».

Reprenons un peu le terme « social » en anglais qui veut dire (source Collins)

  • « living or preferring to live in a community rather than alone »
  • « relating or denoting to human society »
  • « of, relating to, or characteristic of the expérience, behaviour, and interaction of persons forming groups

En fait on aurait plutôt fait de parler de communauté internet, où chacun rejoint une ou plusieurs communautés qui l’intéressent, avec au milieu une technologie qui s’appelle internet. En tout cas ça bouge, ça bouge tellement que les repères sont un peu brouillés.  D’autant plus que des nouvelles communautés se créent chaque jour d’un genre tout à fait nouveau, surtout avec la géolocalisation, ça craque de partout!

Pour y voir un peu plus clair, la société up2social vient de publier un livre blanc gratuit disponible sur sur ICI Bruno Fridlansky, Camille JourdainJeremy Benmoussa en sont les auteurs.

 

Ils ont demandé à 13 experts de témoigner dans ce livre , Tara Hunt de Buy O Sphere, Hubert Senant de Marketor, Catherine Barba de Malinea Conseil et Lab e-Commerce, Jacques Froissant Altaïde, Alain Garnier de Jamespot, Josue Solis de Boosket, Flavien Chantrel de Regions Job et du Blog du modérateur, Philippe Khattou de Marketor, Jean-Noël Chaintreuil de Diateino et Air Liquide, Olivier Zara, Celine Lazorthes de Leetchi, Julien Hervouet de iAdvize, Hervé Bloch de Digilinx

 

Bonne lecture. le livre c’est ICI

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