9 timers en ligne gratuits pour se faire cuire un oeuf

Internet ça sert aussi à se faire cuire un oeuf.  Ok il faut avoir un ordinateur dans la cuisine et avoir le lien sous le coude, sinon le bon vieux timer analogique suffira, (il y a d’autres réveils et timers ici). Voilà donc une liste de timers en ligne gratuit qui sont à bookmarquer absolument.  Il est clair qu’aujourd’hui, on préférera surement les timers sur smartphoness ou tablettes, mais abondance de solutions ne nuit pas.

Le moteur de recherche de Google (english only)

Pour faire marcher le timer en ligne de google, il faut que votre compte google soit en anglais (c’est ce que j’en ai déduit).  Voilà le type de syntaxes à utiliser

  • timer for 1 hour 2 minutes 30 seconds
  • set timer for 1 hour 2 minutes 30 seconds

 e.ggtimer.com (simple)

 Timer-tab.com (3 en un)

Le trois en un, avec un timer, un réveil est un chronomètre. La fin lance une vidéo youtube avec le son des horloges de nos grands-parents.

Fabrelax (le silence réveille)

Le timer relaxant! Programmer la minuterie pour une durée donnée et programmer les sons pendant la durée de la minuterie. Le son s’arrêtera quand le temps sera expiré. Normalement, quand le son, même relaxant s’arrête, on se réveille.

biptimer.com/fr/cooking

Avec ce timer vous allez non seulement pouvoir vous faire cuire un oeuf, mais aussi des pâtes (al dente si vous voulez) et du riz!

Timerrr.com (analogique numérisé)

Un compte à rebours très simple à régler de 1 à 59 minutes, donc pour un oeuf, c’est entre trois minutes et 10 minutes

minuteur, timer, compte à rebours

My.online-eggtimer.com (au choix pour les oeufs)

Dans l’exemple vous avez trois compteurs, c’est donc très familiale car certains le veulent cuit dur, l’autre pas cuit du tout ou mi cuit.

se faire cuire un oeuf sur internet

Eggtimer-countdown (pas mal d’options)

3 minutes ou n’importe quelle valeur entre 0 et 24 heures!

sablier en ligne pour se faire cuire un oeuf

Eggwatchers.com (uniquement pour les oeufs).

En fonction du type d’oeuf et de la cuisson vous pouvez attendre confortablement en regardant une vidéo youtube

timer ou minuteur pour cuire un oeuf

Ces services ne sont pas si inutiles que ça. Quand on est en réunion avec un ordre du jour très strict ça peut-être utile! Ce qui est le cas à toutes les réunions dans un pays comme la France qui cherche des gisements de productivité.

Première version :  Oct 26, 2010

mise à jour : avr 16 2012

mise à jour : aout 05 2013

Ordinateur SONY

En 1980, vous étiez né? Moi oui! J’étais étudiant en DUT d’ingénierie d’électronique numérique à Ville d’Avray. Que de  bons souvenirs et oui à cette époque nous pouvions toucher du doigt la logique des ordinateurs en élaborant des calculateurs avec des circuits numériques à l’aide de TTL (Transistor-Transistor-logic).  Les microprocesseurs existaient déjà! Et nous avions déjà quelques outils qui pouvaient ressembler à un ordinateur portatif,  comme celui doté d’un microprocesseur Z80 avec ses 64K de ram! On appelait plutôt ça des valises, car ses boîtes pesaient une dizaine de kilos. Ne parlons pas des écrans noir et blanc minuscules et bien sûr, pas de trace de souris. L’époque du hard coding en langage assembleur nous a tout de même permis de comprendre un peu mieux ce qui est arrivé dans les trente années qui ont  suivi  les années 1980.

Par la suite, je suis parti en Afrique 5 ans pour installer des réseaux télécoms clé en main, je n’ai pas touché à un ordinateur pendant cette période (pas besoins!). À mon retour, les ordinateurs avaient fait un énorme bond en avant! 3 kg avec des écrans à cristaux liquides à plusieurs niveaux de gris et des disques durs de quelques dizaines de mega octets, un vrai bonheur! J’ai parcouru le monde avec ses pc. Il fallait à l’époque transporter une cargaison de disquettes, car il n’était pas encore question d’email et de pièces jointes. Il fallait donc bien réfléchir avant de partir rédiger un appel d’offre au Ghana ou en Argentine!  Pas  question non plus  de compter sur une communication via un modem!  Le seul moyen de communiquer entre ordinateur était « Passe moi la disquette ».

Avec l’infographie qui suit, on peut d’ailleurs se rendre compte un peu de l’évolution des PC portable jusqu’à nos jours.

Ensuite, les écrans couleur sont arrivés, le poids des ordinateurs n’a cessé de diminuer et surtout l’Internet s’est démocratisé à peu près en même temps que le multimédia.  Je me souviens encore de ma première connexion ADSL à 500 kilobit/s presque dix fois plus rapide que le bon modem commuté à 56k.  Aujourd’hui on ne peut plus concevoir un ordinateur sans connexion Internet et sans wifi.

L’étape suivante a été l’arrivée des tablettes, j’ai acheté ma première tablette l’année dernière, maintenant, il y a en deux à la maison je ne peux plus concevoir ma vie sans une tablette!

L’étape suivante est déjà en route avec la solution hybride comme celle de l’ Ordinateur Sony qui fonctionne tantôt comme une tablette, tantôt comme un PC, plus besoin de synchronisation entre deux systèmes, plus besoin de gérer deux machines! Hop on retire l’écran et on va s’allonger sur le sofa pour finir de lire les mails.

On se dit toujours  que ça y est, on est arrivé au top de chez top, mais que nous réserve donc l’avenir?  Et  bien si je relis ce billet dans dix ans, je suis sûr que pas mal de choses auront changée, mais les pc portables resteront,  ils changeront seulement d’aspect comme l’ Ordinateur Sony ou encore il changeront de nom! C’est vrai, PC portable, c’est tout de même un truc qui n’a plus vraiment de sens.

A vous que prévoyez vous pour l’avenir?

Article sponsorisé

Billet invité: Mac ou PC? A chacun ses problèmes!

servicemalinService Malin (un site d’annonces gratuites, axé sur les travailleurs en freelance) a publié une étude sur les demandes de dépannage informatique reçues sur leur site. A priori donc, rien d’intéressant, sauf peut-être pour les amoureux des statistiques! Mais à y regarder de plus près, on voit émerger des différences très notables entre les problèmes rencontrés par les utilisateurs de PC et ceux rencontrés par les utilisateurs de Mac.

Avons-nous enfin la preuve de la supériorité d’Apple, ou bien celle du pragmatisme du PC?

Hardware

Tout le monde connait la chanson: « les Mac sont beaucoup trop chers, tombent en panne et leurs composants sont difficiles à mettre à jour ». Est-ce vrai? Sans se prononcer sur la « taxe Apple », il semble en effet que les heureux propriétaires des Macintosh sont plus nombreux à demander de l’aide suite à un composant défectueux (25% des demandes, contre 17% pour les PC) (disque dur, lecteur CD et écran sont les problèmes les plus fréquents) et sont même 4 fois plus nombreux à demander de l’aide pour mettre à jour leur Mac (changement de disque dur ou ajout de mémoire).

Cela dit, les utilisateurs de Mac sont statistiquement au moins deux fois plus nombreux (8% contre 3%) à avoir besoin d’un dépannage suite à une chute ou un liquide renversé sur leur ordinateur. Seraient-ils maladroits? Pas forcément, car ce type d’accident est associé à la portabilité de l’objet (en effet: pour les téléphones portables, cette même statistique est de 18%). Les mac seraient donc utilisés dans un environnement plus nomade, ce qui pourrait en partie expliquer les éventuels problèmes de fiabilité.

Software

Les fans d’Apple se vantent souvent de ne pas avoir à se soucier des plantages et virus sur leurs machines. Alors: vrai ou faux? Vrai – les demandes d’aide concernant les erreurs et virus sont presque 4 fois plus fréquentes pour les propriétaires de PC (19% des demandes de dépannage, contre seulement 5% pour les Mac).

Pour les problèmes de virus, utilisateurs de Mac: réjouissez vous! Il y a eu si peu de demandes de dépannage à ce sujet, qu’il a été impossible de calculer une statistique de probabilité!

Conclusion

Ces statistiques sur les demandes de dépannage informatique, semblent donc confirmer la supériorité de MacOS en termes de sécurité et stabilité, mais pas forcément en termes d’endurance et accessibilité des composants physiques. Peut-être une stratégie gagnante pour Apple (et les consommateurs) serait d’ouvrir le marché des Mac à la compétition, en laissant les fabricants de PC installer MacOS sur leurs machines (sous licence d’Apple bien évidemment)?

 

Auteur: Thomas Krusinski est ingénieur en informatique, consultant indépendant et fondateur du site Service Malin.

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