Brazil et la loi HADOPI

Je me sens un peu déconnecté de la loi Hadopi ici au Brésil, mais ce genre de loi pourrait un jour être également adaptée au Brésil et votée sans problème. D’ailleurs je trouve que la loi Hadopi collerait mieux à la réalité du Brésil qui vote des lois qui sont peu respectées car le gouvernement n’a pas les moyens de les mettre en place.

Je me sens un peu déconnecté de la loi Hadopi ici au Brésil, mais ce genre de loi pourrait un jour être également adaptée au Brésil et votée sans problème.  D’ailleurs je trouve que la loi Hadopi collerait mieux à la réalité du Brésil qui vote des lois qui sont peu respectées car le gouvernement n’a pas les moyens de les mettre en place.

Personnellement j’ai déjà payé tellement de droits d’auteur à l’époque du vinyle, repayé les droits d’auteur avec l’arrivée des CD que ne ne me sens plus le courage de repayer un troisième fois en faisant des téléchargement légaux . J’ai rarement fait de téléchargements illégaux parce que difficile de trouver les bons morceaux de musique et également de recomposer les albums facilement. J’ai préféré emprunter des centaines de CD à la bibliothèque de Boulogne Billancourt que j’ai convertis en mp3. Je dois avoir maintenant 10 000 musiques stockées et j’en suis très heureux.

Il y a deux ans au Brésil on achetait tout librement dans les magazines, maintenant c’est plus difficile, mais le trafic continue (du moins dans ma région)

je viens de lire l’article sur la loi Hadopi sur affordance où j’ai bien ri en regardant cette vidéo doublée  :sur un de mes films culte « Brazil ».

7 réflexions sur « Brazil et la loi HADOPI »

  1. Elle repasse le 29 ou 30 avril à l’assemblée, cela a juste fait gagner 15 jours, le gouvernement l’a représente 😉

  2. « C’est les dérives qui me font peur, l’Australie est pourtant une belle démocratie… »
    Oui c’est étonnant, pour La Chine et la Corée ça l’est beaucoup moins …

  3. Disons que ce qui me choque c’est que Hadopi n’est que la surface hébergée de l’iceberg : la surveillance du p2p, pourquoi pas, mais une fois cette structure créée il n’y a qu’un pas pour filtrer directement chez le fournisseur d’accès. A ma connaissance deux pays seulement appliquent  des « filtres » : la Chine et la Corée du Nord. De plus, seuls les « mauvais » se feront prendre, les ados p2p, le pépé qui n’aura pas protégé son wifi. Quid des hotels, cafés… qui proposent le wifi gratuit ?

    En Australie, il y a une tentative de blackliste de sites (pédophiles, nazis etc) directement chez les fournisseurs d’accès (donc impossible d’y accéder). La liste a été diffusée et on a pu constater que sur cette liste « secrète », il y avait des sites tout à fait légaux mais opposé au gouvernement (sites pro avortement notemment). C’est les dérives qui me font peur, l’Australie est pourtant une belle démocratie…

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